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À tous les âges de la vie, le suivi des soins dentaires est une priorité. C’est en même temps une question de santé vitale et un investissement qui peut lourdement peser sur le budget des familles. Les Belges en sont conscients. Mais s’ils sont 82 % à avoir une assurance hospitalisation, ils ne sont qu’environ 10 % à avoir souscrit une assurance soins dentaires.
Les soins dentaires en chiffresD’après le baromètre DKV sur les assurances soins de santé complémentaires :
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Dans le cadre de l’assurance obligatoire soins de santé, la sécurité sociale ne rembourse que partiellement ou pas du tout certains soins dentaires comme les appareils et autres soins orthodontiques. Elle rembourse aussi moins bien les patients qui n’effectuent pas de visite annuelle. Embêtant quand on sait que plus d'un Belge sur quatre n'a pas consulté une seule fois le dentiste en trois ans. [1]
Ce chiffre qui provient des données de remboursement en soins dentaires des mutualités du pays a de quoi surprendre. Une bonne santé bucco-dentaire permet d’éviter un grand nombre de problèmes de santé à moyen et à long terme, parfois graves.
Le Belge manque-t-il de prévoyance ?Environ 10 % des Belges ont souscrit une assurance pour leurs soins bucco-dentaires. À titre de comparaison, c'est nettement moins que chez nos voisins directs : ils sont 62 % aux Pays-Bas et... 95 % en France, qui reste la grande championne de l'assurance dentaire en Europe. |
Disparité des coûts des soins dentaires
Si les Belges ne se rendent pas davantage chez le dentiste, c’est aussi parce que 75 %[2] d’entre eux envisagent de postposer un rendez-vous pour une question de budget. Pourtant, selon le baromètre de DKV sur les soins dentaires: 80 %[3] déclarent qu’ils ne prévoient pas pour autant de s’assurer davantage. Une vision à court terme aux conséquences importantes et imprévisibles sur leur budget.
Au quotidien, les soins dentaires varient fortement comme le révèle le baromètre 2019 des Mutualités Chrétiennes sur les soins dentaires. Elle montre, par exemple, qu’entre 2016 et 2018, les coûts à charge du patient ont grimpé pour les différents types de prothèses dentaires : en moyenne 850 euros pour un implant dentaire, 660 euros pour une couronne et 1.990 euros pour un bridge. Suivant le praticien, le montant peut varier fortement.
Un exemple ? Pour le cas d'une couronne sur un implant, les tarifs peuvent commencer à 1.000 euros pour atteindre près de 3.200 euros. D’autres soins dentaires sont impactés par une hausse significative et variable des prix : les tarifs des prothèses inlay/onlay (remplaçant les plombages) et des attachements ont respectivement connu une croissance de 16,50 et 31% sur deux ans.
L’âge s’attaque aussi aux dents
Lorsqu’on parle de soins dentaires, la question de l’âge n’est évidemment pas anodine. Certaines personnes, malgré une hygiène irréprochable, peuvent développer avec le temps des problèmes de gencives ou d’autres détériorations qui peuvent nécessiter des soins particulièrement coûteux.
Dans leur baromètre 2019, les Mutualités Chrétiennes ont montré que les personnes âgées (en centres de soins résidentiels ou recevant des soins à domicile) ne pensent pas à se faire suivre pour leurs dents. Les chiffres peuvent effrayer : moins de 2 personnes âgées sur 10 vivant à domicile et moins d’une personne âgée sur 10 dans les centres consultent un dentiste.
Les soins dentaires des plus jeunes
Chez les plus jeunes, le suivi des soins dentaires doit être une priorité des parents. Avant 6 ans, les dents de lait cassées ou abîmées empêchent parfois la bonne pousse de la dent définitive. Une chute de vélo, sucer son pouce, des problèmes d’alignement des dents, de couleur etc. compliquent la vie des plus jeunes dans les premières années et pèsent d’autant sur le budget de santé des ménages.
L’autre grand défi pour les familles aujourd’hui est la prise en charge des problèmes orthodontiques et des coûts des appareils dentaires, surtout lorsqu’on a plusieurs enfants. Ces traitements sont lourds et coûteux, ce qui décourage certains jeunes patients (particulièrement les 10-15 ans) et leurs parents. Les deux principaux freins sont la difficulté du trajet de soins (une moyenne de 15 rendez-vous) et le coût du traitement. Celui-ci coûte 1.756 € en moyenne, mais peut être deux fois plus cher dans certains cas.
Une assurance soins dentaires, votre alliée sérénité
Face à ces chiffres, souscrire une assurance soins dentaires est une vraie solution pour alléger le coût des soins dentaires et, par là-même, préserver sa santé bucco-dentaire tout au long des cycles de la vie. Huit personnes sur 10[4] se disent satisfaites d’avoir souscrit une assurance soins dentaires... même s’ils sont encore trois Belges sur 10[5] à ne pas savoir quels frais sont couverts par une assurance soins dentaires
Avec les assurances soins dentaires complémentaires DKV, vos soins curatifs sont couverts jusqu’à 80 % sur un montant illimité.
À titre indicatif, vous pouvez très rapidement calculer le montant de votre prime d’assurance dentaire en ligne. Vous hésitez entre les différentes options pour votre couverture de soins dentaires ? Répondez à quelques questions et nous vous recommanderons la formule la plus adaptée à vos besoins.
Il s'agit ici de publicité au sens de l'arrêté royal du 25 avril 2014 imposant certaines obligations en matière d'information lors de la commercialisation de produits financiers auprès des clients de détail.
[1] Source : Baromètre 2019 des Mutualités Chrétiennes sur les soins dentaires ( https://www.mc.be/media/MC-Barometre-soins-dentaires-et-recommandations-politiques_tcm49-59523.pdf)
[2] Baromètre DKV 2018
[3] idem
[4] idem
[5] idem