- fr
- nl
La chirurgie réparatrice et la chirurgie esthétique n’ont pas les mêmes raisons d'être. La prise en charge par l’assurance hospitalisation est d'ailleurs différente. Eclairage.
S’employant à reconstruire l’apparence du corps à la suite d’une malformation congénitale, d’un accident ou encore d’une intervention chirurgicale, la chirurgie réparatrice est prise en charge par votre assurance hospitalisation.
Ce qui n’est pas le cas de la chirurgie esthétique, motivée par une amélioration de l’aspect physique du corps.
Explications.
Chirurgie réparatrice, esthétique, plastique : une frontière claire ?
En réalité, la chirurgie plastique est un terme générique qui regroupe les deux types de chirurgie : la chirurgie réparatrice et la chirurgie esthétique.
Ces deux types de chirurgie s'étendent à l'ensemble du corps humain. Les techniques d'intervention sont similaires. C'est la cause de l'intervention qui diffère.
- La chirurgie réparatrice consiste à redonner son intégrité au corps, à la suite d'un accident, d'une ablation ou d'une malformation de naissance.
- La chirurgie esthétique, elle, se caractérise par une intervention chirurgicale en vue d'embellir son corps. Une opération qui est donc décidée par le patient.
La prise en charge des frais de ces 2 types d'intervention, de nature différente, sera donc différenciée.
Lorsque l'on évoque la chirurgie réparatrice, on cite souvent la reconstruction mammaire. De fait, il s'agit d'une chirurgie réparatrice fréquente puisqu'une femme sur neuf court le risque d’être touchée par le cancer du sein.
La chirurgie réparatrice : se couvrir avec une assurance hospitalisation et/ou une assurance soins ambulatoires
Puisque la chirurgie réparatrice fait généralement suite soit à un accident ou une maladie, les frais qui y sont liés font souvent l'objet d'une intervention. A commencer par la sécurité sociale. Votre assurance hospitalisation et/ou frais ambulatoires pourra également intervenir.
Si vous devez subir une opération de ce type, les soins pré/post opération et les prothèses seront également pris en charge par votre assurance.
Il est à noter que la reconstruction mammaire fait l'objet d'une convention entre l'Inami et certains hôpitaux pour un remboursement plus conséquent, sous certaines conditions. Cela vaut la peine de se renseigner.
Marie* a 45 ans et lors de sa dernière mammographie, son gynécologue a détecté un début de cancer du sein. Elle a donc dû être opérée et avoir une reconstruction mammaire. L’opération s’est très bien passée et elle a pu rentrer chez elle après avoir passé 6 nuits en chambre individuelle.
Grâce à son assurance hospitalisation DKV, Marie n’a payé que 159,76€ (les 8€ de frais divers non pris en charge par DKV et une contribution personnelle de 151,76€ pour la chambre individuelle) au lieu des 7.333€ facturés par l’hôpital.
Chirurgie esthétique : un choix personnel qui n’est pas pris en charge
La chirurgie esthétique, elle, n’est motivée ni par une pathologie ni par ses séquelles. Il s'agit d'une intervention pour masquer les marques du vieillissement, de la grossesse ou remédier à des disgrâces non pathologiques.
La chirurgie esthétique a pour but d’améliorer le bien-être d'une personne en lui permettant de se sentir mieux dans son corps.
Parmi les interventions définies comme esthétiques, citons :
- le lifting cervico-facial ;
- la liposculpture ;
- les traitements au laser visant à réduire les rides ou les lésions cutanées pigmentaires.
Considérées comme non indispensables, ces interventions ne sont pas prises en charge par la sécurité sociale. Les frais de ce type de chirurgie ne seront donc pas couverts par votre assurance hospitalisation ou soins ambulatoires. Autant savoir...
Vous devez subir une chirurgie réparatrice ? DKV intervient dans le cadre de l'assurance soins ambulatoires et/ou de l'assurance hospitalisation.
DKV, votre partenaire santéNotre mission est de vous offrir des solutions d’assurance qui vous protègent et vous apportent la sérénité, vous permettent de profiter pleinement de la vie. C’est le sens que nous donnons à la prévention : prendre soin de vous, c’est préserver votre capital santé, le plus longtemps possible et dans les meilleures conditions. Quels que soient vos besoins, il existe une formule DKV faite pour vous. |
*prénom d’emprunt
Il s'agit ici de publicité au sens de l'arrêté royal du 25 avril 2014 imposant certaines obligations en matière d'information lors de la commercialisation de produits financiers auprès des clients de détail.
Pour toutes informations complémentaires concernant les caractéristiques et exclusions principales de ces produits, vos droits et obligations, veuillez consulter les Conditions Générales, les Conditions Tarifaires et les Documents d’Information Produit (IPID) avant de souscrire. Ces documents sont disponibles auprès de votre intermédiaire d’assurances, sur www.dkv.be ou gratuitement auprès de DKV Belgium.
DKV Belgium S.A. | Rue de Loxum 25 | 1000 Bruxelles | www.dkv.be | Tél. : +32(0)2 287 64 11 | R.P.M. 0414858607, entreprise d’assurances de droit belge agréée sous le n°739, sous le contrôle de la Banque Nationale de Belgique, dont le siège est situé à 1000 Bruxelles, Bld de Berlaimont 14, fabricant des produits DKV : soins dentaires, frais ambulatoires, hospitalisation et perte de revenus. Ces produits sont soumis au droit belge (branche 2 ‘maladie’ et/ou branche 18 ‘assistance’). Offre via votre intermédiaire d’assurances et/ou via www.dkv.be. Contrat à vie, non résiliable par l’assureur, sauf exceptions prévues par la loi. Pour les plaintes relatives à la gestion ou à la mise en oeuvre de ces produits, veuillez vous adresser au service Quality Control de DKV Belgium S.A. par courrier à l’adresse suivante : rue de Loxum 25, 1000 Bruxelles, par mail à Qualitycontrol@dkv.be ou via le formulaire disponible sur notre site internet www.dkv.be/fr/contact/une-plainte et, en 2ème ressort, à l’Ombudsman des Assurances par courrier à l’adresse suivante : square de Meeûs 35, 1000 Bruxelles, par mail à info@ombudsman-insurance.be ou par téléphone au +32 (0) 2 547 58 71. Ce document est un support commercial au sens de l’A.R. du 25 avril 2014 imposant certaines obligations en matière d’information lors de la commercialisation de produits financiers auprès des clients de détail.